Cette fois, il s’agit du modèle complet de la créatrice Carolyn Pearce, voir « Inspiration magazine n°4  » , brodé sur de la belle toile de lin et associé à un petit brin de fantaisie de ma part. J’ai beaucoup aimé le broder. Et aujourd’hui, je sais comment faire une corde torsadée qui ne se déroule pas lorsque la tension se relâche ! Si vous cherchez l’astuce, c’est par ici à moins que vous ne sachiez déjà !

Et voilà donc une autre paire de ciseaux qui désormais ne passera plus inaperçue sur ma table à ouvrages !

Je vous livre une petite astuce-couture découverte au détour de mes expériences, qui vaut ce qu’elle vaut, mais que j’ai résolument adoptée ! Pour ôter votre faufil après la couture machine, quoi de mieux qu’une pince à épiler ?! A vous de tester !

Je savais qu’un jour j’utiliserais mes perles Swarovski pour un ouvrage de broderie, voir la pendeloque et le centre de la citrouille !

A très bientôt !

Mon mari et moi avions toujours convenu que nous n’aurions jamais d’animal domestique dans notre foyer. Jusqu’au jour où un certain volatile, (venu de je ne sais où !) a fait brusquement irruption sur notre terrasse et dans notre vie un soir de mai !

Nous ne sommes pas allés le chercher, mais c’est lui qui est venu jusqu’à nous !

Il nous aurait manifestement « choisis », pour élire son nouveau domicile ?!

Je ne décrirais même pas l’euphorie qui s’est emparée des enfants, alors couchés, mais que j’ai réveillés pour admirer cette belle créature ! Un épisode singulier et très riche en émotion pour nous tous !

Je vous présente donc le nouveau membre de notre famille (comme si nous n’étions pas déjà assez nombreux et comme si les occupations me faisaient défaut !) que nous avons appelé Kéléa. Un nom choisi en référence à l’oiseau du même nom (Quéléa) bien qu’il n’en soit pas un. Mais Kéléa avec un « K » ; un nom composé d’une lettre du prénom de chaque membre de notre foyer. Il s’agit donc d’un inséparable masqué, plus précisément un Agapornis Personata (que de recherches à son sujet !)

Jusqu’à ce jour, son propriétaire ne l’a pas réclamé malgré notre annonce parue dans le quotidien de la région…

Nous nous sommes déjà tous très attachés à lui et nous l’apprivoisons gentiment. Nous progressons et regardez un peu où il est allé se percher !

Décidément, je n’en ai pas encore fini avec les jours brodés car j’aime les insérer dans mes broderies ! Il faut dire qu’ils embellissent très vite un ouvrage, au point de remplacer la dentelle, et sont de réalisation très simple ! C’est le cas de cette pochette ; l’auteur proposait de coudre des galons de dentelle, mais pourquoi ne pas les remplacer par des jours en « V » de couleur contrastée avec le tissu ? Dorénavant, ma réserve de rubans et de dentelles y sera bien rangée !

Un modèle issu du livre de S. Castellano, « Galons, rubans et linge ancien ».

Si Pascale passe par ici, elle pourra voir quel usage j’ai pu faire de son petit fuseau de ficelle de lin !

Je saisis aussi l’opportunité de ce dernier article avant notre départ en vacances pour souhaiter à chaque visiteur et à chaque abonné, de passer un très très bel été !

Je vous dis à très bientôt !

Le raffinement de la soie pour ce petit cucurbitacée en guise de pique-épingles.

Aussitôt après avoir consulté le superbe magazine « Broderie Inspiration » n°4, je rêvais déjà de le confectionner !

Le temps a passé, mais aujourd’hui, c’est chose faite après l’avoir légèrement modifié.

Je l’ai brodé par amitié et pour remercier une brodeuse talentueuse et généreuse.

Un modèle de Carolyn Pearce, brodé sur de la soie avec des fils et des rubans de soie pour la rose, les boutons et certaines feuilles ; boutons de nacre anciens des deux côtés.

Les brodeuses ont la manie des collections. Les unes collectionnent des dés à coudre, d’autres des ciseaux anciens ou encore du linge ancien… Et parfois (souvent ?), elles collectionnent toutes ces choses en même temps. Et je dois dire que je fais partie de cette dernière catégorie ! Mais j’ai une prédilection pour les ciseaux. Et quand on aime les ciseaux, on aime aussi les étuis à ciseaux. Mais si on ne trouve pas d’étuis à son goût, il ne reste plus qu’à en faire soi-même ! Il s’agit donc d’une réalisation personnelle pour mes précieux ciseaux coeur.

Ne me demandez pas le nom de la grille car je n’en ai aucune idée ! Mais j’ai décidé de l’appeler « L’arbre aux oiseaux » (du reste, peut-être est-ce bien son nom ?!). La grille du petit coussinet qui retient les ciseaux est issue d’un livre japonais, « Idées n°7 ».

L’ensemble brodé en 1 fil/1 fil sur de la toile de lin à 14 fils/cm.

Et dire qu’avant je n’aimais pas cette couleur parme…